mercredi 13 février 2013

Carnet de bord : suite




























4 commentaires:

Anonyme a dit…

Chère Madame Seguret-Lauque,

Connaissant mon intérêt pour l'Aéropostale, un copain argentin m'a signalé l'existence des photographies apparaissant sur votre site. J'ai beaucoup apprécié ces clichés uniques d'une grande valeur historique. J'ai toutefois remarqué que parfois, le type d'avion n'est pas indiqué dans le commentaire de la photographie. C'st le cas d'au moins deux appareils plutôt rares. Si cela vous intéresse, je vous prie de me contacter s'il vous plaît. Il va me faire plaisir de vous donner ces précisions. Je profite de l'occasion pour vous poser deux questions:
- Est-il possible d'obtenir les mêmes photos en plus haute résolution?

- Entendez-vous publier d'autres photos de même nature?

Pour ces belles photographies, UN GRAND MERCI.

Bien à vous

Alain Bourret
Québec, CANADA

C. Seguret-Lauque a dit…

Merci pour l'intérêt que vous portez au blog, Alain.

Anonyme a dit…

J'ai mis en pièces jointes les photographies où l'on retrouve des appareils non identifiés. Il y a plusieurs photos mais qui ne touchent en fait que deux appareils biplans: le trimoteur Latécoèere 4 et le monomoteur Latécoère 8. Dans le cas du Latécoère 4, c'est la première fois que je vois l'appareil dans sa configuration «cockpit ouvert», sans ses fenêtres de cabine et de toute évidence avant même l'application d'un enduit argenté. Sans en être certain, je crois que le Laté 4 «crashé» est celui piloté en mai 1920 par Pierre Beauté ce qui situerait l'évènement à Francazal. D'autre part, le Latécoère 8 apparaissant sur les photos a un long tuyau d'échappement courant sur le dessus du fuselage, ce qui est nouveau pour moi. Il semble que les concepteurs de l'appareil aient rencontré des problèmes de ce côté puisque j'ai une photographie de l'appareil où on le voit muni de douze petites pipes d'échappement sortant à la verticale du moteur tel un orgue d'église et autre cliché montrant l'installation d'une «corne de rhinocéros» rejetant les gaz brûlés par dessus l'extrados de l'aile supérieure! Enfin, il faut préciser que ces deux aéroplanes ne furent pas des succès commerciaux et ne connurent pas la production en série.
Alain Bourret

C. Seguret-Lauque a dit…

Un grand merci pour ces précieux renseignements qui vont permettre de compléter les informations du blog !